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Ecymier la creyime

by YÉEMIRC

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1.
2.
Avec comme toit (toi), deux ou trois cartons et comme fenêtre seul l'horizon. Avec comme terrain seul un trottoir, pauvre bitume sans floraison. Avec comme rêve seul une bouteille, remplie de larmes que l'on boit sans raison. Avec comme amour seul une chaleur, que l'on retrouve en aucune saison. Comment a t'on pu succomber ? Certes, en noyant les larmes des blessés ? Comment pouvons nous oublier ? Misère et solitude ignorées. Triste cri de naissance, mon enfant, le regard maternel comme seule sanction. De foyers en foyers, la bohème, l'orphelinat brûle tes passions. Job de pitié et tel un suicide, tu ramasses les pièces de ta prison. Destin sans issue, fièvre te domine et tu avales ce mortel poison. Comment a t'on pu succomber ? Certes, en noyant les larmes des blessés ? Comment pouvons nous oublier ? Misère et solitude ignorées.
3.
Toi, seule, tête baissée, les poings fermés. Tu vois, tu entends ces cris désespérés. Tu ne bouges pas, sur cette route bombardée. Tu ne te dis pas que c'est la faute de l'armée. Tous ces soldats qui ont tué toute ta famille. T'on épargnée car dans tes yeux le soleil brille. Dans leurs fusils, il n'y a pas de jonquilles. Mais devant toi, un char peut devenir fragile. Une toute petite fille de rien. Tes grands yeux tout en chagrin. Tu stoppes ces actes inhumains par tes larmes et de tes mains. Petite fille. 10 ans, seule et sans tes parents. Ton avenir, tu le voyais dans les chants (champs). Pas dure comme ceux du coton, mais doux comme la chanson. Tu rendras leurs âmes à ces dictateurs infâmes. Tes mélodies arriveront à ces oreilles d'un peuple meurtri par toutes ces querelles. Le son de ta voix arriveront à ces oreilles. Tes rêves, tu y crois, même s'ils paraissent utopistes. Une toute petite fille de rien. Tes grands yeux tout en chagrin. Tu stoppes ces actes inhumains par tes larmes et de tes mains. Petite fille.
4.
On court tous comme a des chiens galeux vers un avenir que l'on voudrait heureux. On se frictionne de sourires malicieux pour voiler un présent capricieux. Arrache toi, arrache en mes yeux, arrache moi, j'en appelle de mes voeux. Tu commences avec moi, tu finis avec eux, l'engrenage est défectueux. Endors toi et vide tes songes (vie de tes songes), avant que la haine ne te prenne et te ronge. Découvre et ouvre, explore et vie de la sorte. N'attends pas que ta liberté soit morte. Voyage et cris (écris), pulvérise de sang (sans), fais vibrer tous tes sentiments. Crache tes boyaux, fais éclater tes os, la mort seule sera ton repos. Allez, tourne la page, découvre des sauvages. D'entre nous, ce sont eux les plus sages. Endors toi et vide tes rêves (vie de tes rêves), avant que la vie te prenne et te crève. "Charabia qui veut rien dire" "Killing me if you think I'm so crazy" 'China childs" x4 Endors-toi et vide tes rêves.
5.
Une seule image de sourd engage notre espoir. Une seule sirène d'envie hante nos mémoires. Comment changer la folie des foules sans les voir ? Et nous enivrer d'amour loin des isoloirs ? J'en meurs d'envie. J'en meurs d'envie depuis tant d'années. On a beaucoup trop longtemps rongé nos envies. On a beaucoup trop longtemps perdu nos projets. J'aurai parcouru le monde, cela m'aurait servi à changer d'horizon pour mieux me sauver. J'en meurs d'envie. J'en meurs d'envie depuis tant d'années. Killing me or leave, but don't say anything. I will change my army, but they cry everithing. and they know you are so happy Cause you know they are finally so crazy. J’emmènerai mon esprit loin de l'insomnie. J’emmènerai nos regards loin du désespoir. J'irai conquérir le temps, quand s'achève le vent, De nos magiques années et qui nous reprend. J'en meurs d'envie. J'en meurs d'envie depuis tant d'années. Je ne laisserai pas mon cœur au consumérisme. et à tout ces amateurs de libéralisme. J'enfilerai mon costume d'ange pour reconquérir Toutes ces sirènes qui se mélangent et trompent mon sourire. J'en meurs d'envie. J'en meurs d'envie depuis tant d'années. Même si il n'y a que quand la vie est triste, que les chemins s’embellissent, que la vie fait son cinéma.
6.
Encore un jour nouveau, tu sors de ta couette. Tu déposes à l'école ta petite fée à couettes. Sans volonté aucune, tu fais bien triste mine, Tu fonces à l'usine. Encore un jour de plus qui t'enfonce dans la peine. Tu continues, meurtris, même si tes larmes en saignent. Sans volonté aucune, tu fais bien triste mine, seule derrière ta machine. Alors, tu rentres chez toi, ton rêve est prêt de toi. Tu l'observes, puis, tu le brûles enfin. Bolloré est prêt de toi, utile pour une fois. Du bout de tes doigts, tu éclates enfin. Un petit pétard se dilate tes pupilles, tu n'attendais qu'un petit pétard. T'as les yeux qui brillent, tu ne rêvais qu'd'un petit pétard. Ton cerveau enfin libre, ta liberté, un petit pétard. Maintenant abonné. Un petit pétard se dilate tes pupilles, tu n'attendais qu'un petit pétard. T'as les yeux qui brillent, tu ne rêvais qu'd'un petit pétard. Ton cerveau enfin libre, ta liberté, un petit pétard. Ta façon d'oublier. Encore un jour se lève, t'enfonçant dans la misère. Tes crédits, ta famille, tourbillon de chimères. Sans volonté aucune, tu fais bien triste mine. Tes problèmes s'enracinent. Encore un mois subi : "Un SMIC et la misère". Une seule obsession : "Buter un milliardaire". Maintenant névrosé, tu fais bien triste mine. Tes rides se dessinent. Alors, tu rentres chez toi, ton rêve est prêt de toi. Tu l'observes, puis, tu le brûles enfin. Bolloré est prêt de toi, utile pour une fois. Du bout de tes doigts, tu éclates enfin. Un petit pétard se dilate tes pupilles, tu n'attendais qu'un petit pétard. T'as les yeux qui brillent, tu ne rêvais qu'd'un petit pétard. Ton cerveau enfin libre, ta liberté, un petit pétard. Maintenant abonné. Un petit pétard se dilate tes pupilles, tu n'attendais qu'un petit pétard. T'as les yeux qui brillent, tu ne rêvais qu'd'un petit pétard. Ton cerveau enfin libre, ta liberté, un petit pétard. Ta façon d'oublier. Ne laisse pas de temps au temps. Crois en tes rêves.
7.
Je t'en prie, vends ton temps de cerveau à TF1. La culture se meurt et les grands médias s'en lavent les mains. Un gouvernement qui est dirigé par les grands milliardaires. Alors que l'on tente de survivre, mais qu'attend t'on pour tout envoyer en l'air ? We live in a Perfect World, all is nice, fabulous, Perfect World, say me you dream. Perfect World x6 Personne ne comprend les révoltes dans les cités. Les droits de l'homme et l'accueil décent des immigrés. Le droit de grève et qu'il faut parfois en abuser. Personne ne comprend surtout les abrutis de jeunes militants UMP (les républicains) We live in a Perfect World, all is nice, fabulous, Perfect World, say me you dream. Perfect World x6 Travail, famille, patrie, quelle belle idéologie. Ségregétion et immigration de choix. Il parait que les hommes naissent libres et égaux en droit. We live in a Perfect World, all is nice, fabulous, Perfect World, say me you dream. Perfect World x6
8.
Le contact s'électrise entre chien et loup Je ne pense, mes chers, qu'à vous rouer de coups. Mon regard se croise, est sans fois ni lois contre vous mes parias. Je pourrais reprendre ses dictons qui vous sont si chères. Ceux qui ruinent, qui divisent la planète entière. Nan, c'est vrai que vous ne nous dérangez pas, mais ce serait mieux si vous ne seriez pas là. Le fascisme n'a pas disparu. Son ombre hante encore les rues. Comme si le mélange causait des ennuis. J'emmerde la xénophobie. Je pourrais arracher les cieux (tout se mélange dans ma tête) Si seulement nous étions moins sérieux (répression des gens honnêtes) Ferme ta bouche ainsi que tes yeux (le monde serait moins bête) Imaginons un instant la vie sans eux (juste une utopie honnête) Un contact, l'étincelle, les peuples et la haine. Propagande, religion, les guerres se déchaînent. La couleur se fait reine, sentiment supérieur. Mais pourquoi, vivre dans cette peur ? A t'on, croyez-vous, oublié l'esclavage ? Ce sentiment, englouti, que l'autre est un sauvage ? Il a été créé mieux que l'ethnisation, la déshumanisation. Le fascisme n'a pas disparu. Son ombre hante encore les rues. Comme si le mélange causait des ennuis. J'emmerde la xénophobie. Je pourrais arracher les cieux (tout se mélange dans ma tête) Si seulement nous étions moins sérieux (répression des gens honnêtes) Ferme ta bouche ainsi que tes yeux (le monde serait moins bête) Imaginons un instant la vie sans eux (juste une utopie honnête) Solo Le fascisme n'a pas disparu. Son ombre hante encore les rues. Comme si le mélange causait des ennuis. J'emmerde la xénophobie. Je pourrais arracher les cieux (tout se mélange dans ma tête) Si seulement nous étions moins sérieux (répression des gens honnêtes) Ferme ta bouche ainsi que tes yeux (le monde serait moins bête) Imaginons un instant la vie sans eux (juste une utopie honnête)
9.
J'ai revu passer notre vie, ces moments de bonheur. Aussi revu tous tes cris (tout t'écrit) et tous ses bouquets de fleurs. Nous deux unis dans l'insomnie, tant de fois cette chaleur. Même si tu n'es pas partie, je sombre dans le malheur. Une voiture qui ne s'arrête pas et toi qui ne la voit pas. Ce déchirement, cette douleur. Allongée sur ton lit, je te regarde, tu te meurs. Oui, tu es encore là, j'entends tes battements de cœur. Oui, je suis prêt de toi, mais ton esprit est ailleurs. Seul face à moi, la décision d'un sans cœur. Enfermée dans ton corps, je m'en vais et je pleure. Rifff Je voyais notre vie, un destin de bonheur. J'entendais tous ses cris, la voyait dans sa robe à fleur. Prendra du soins d'elle au paradis ? De la chair de ma valeur. Même si vous n'êtes pas parties, je sombre dans le malheur. Une voiture qui ne s'arrête pas et toi qui ne la voit pas. Ce déchirement, cette douleur. Allongée sur ton lit, je te regarde, tu te meurs. Oui, tu es encore là, j'entends tes battements de cœur. Oui, je suis prêt de toi, mais ton esprit est ailleurs. Seul face à moi, la décision d'un sans cœur. Enfermée dans ton corps, je m'en vais et je pleure.
10.
J'ai revu passé notre vie, ces moments de bonheur. Aussi revu tous tes cris (tout t'écrit) et tous ses bouquets de fleurs. Nous deux unis dans l'insomnie, tant de fois cette chaleur. Même si tu n'es pas partie, je sombre dans le malheur. Une voiture qui ne s'arrête pas et toi qui ne la voit pas. Ce déchirement, cette douleur. Allongée sur ton lit, je te regarde, tu te meurs. Oui, tu es encore là, j'entends tes battements de cœur. Oui, je suis prêt de toi, mais ton esprit est ailleurs. Seul face à moi, la décision d'un sans cœur. Enfermée dans ton corps, je m'en vais et je pleure. Rifff Je voyais notre vie, un destin de bonheur. J'entendais tous ses cris, la voyait dans sa robe à fleur. Prendra du soins d'elle au paradis ? De la chair de ma valeur. Même si vous n'êtes pas parties, je sombre dans le malheur. Une voiture qui ne s'arrête pas et toi qui ne la voit pas. Ce déchirement, cette douleur. Allongée sur ton lit, je te regarde, tu te meurs. Oui, tu es encore là, j'entends tes battements de cœur. Oui, je suis prêt de toi, mais ton esprit est ailleurs. Seul face à moi, la décision d'un sans cœur. Enfermée dans ton corps, je m'en vais et je pleure.
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Ma langue caresse le lobe de ton oreille et tes joues roses, brûlantes. Mordillent tes lèvres qui sont une merveille. Embrasse ton coup, tu es tremblante. Je glisse doucement sur tes seins, toi m'arrêtant en vain. Tu laisses faire mes mains comme par instinct. J'ai fait 1000 fois le tour de ton nombril, puis suis descendu dans tes rêves. Je te veux toi, rien que pour moi, oh oui, toute une nuit. Je te veux toi, rien que pour moi, oh oui, jusqu'à l'infini. Je te veux toi. Ligotée et nue sur ce grand lit. Tendresse, violence et envie. Dirigée par les pulsions de ton cœur, tu me pièges en ta chaleur. Ce mouvement lancinant, ton souffle envoûtant. Tes tétons sont des p'tits jouets, ton sexe un vrai conte de fée. Tu as chaud, j'ai chaud. Je te veux toi, rien que pour moi, oh oui, toute une nuit. Je te veux toi, rien que pour moi, oh oui, jusqu'à l'infini. Je te veux toi. .
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about

Cet album est la deuxième partie de mon expérience musical.
Un album un peu plus mature que le premier, mais assez mauvais tout de même.

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Eymeric Hénin

credits

released January 1, 2010

Avec la participation de William Vallée, Joris Valet, Alexandre Honoré, Johann Madelenat, Thomas Leroy Ducardonnoy, Eymeric Hénin, Kevin Henoux, Manon Magnard, Deborah Oudelet, Kelvin Pochon, Lydie Dobigny, Julien Larminier.

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yéemirc Montpellier, France

J'invente des mots et j'essaye d'enregistrer de la musique.
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